Le maire de Brest, François Cuillandre , a plutot bonne presse. Non à la vidéosurveillance dans sa ville, non à la Police municipale à laquelle il préfère une Police nationale de proximité et plus d’éducateurs. Il n’y a qu’un thême sur lequel ses actes sont en contradiction avec ces principes plutot protecteurs des libertés : celui des ordinateurs de vote.
Premier à en équiper sa ville en 2004 - sans débat disent les opposants à ces machines opaques qui ne garantissent pas la transparence et la fiabilité du vote - il refuse depuis d’entendre leurs arguments. Malgré les preuves de falsifications, d’erreurs et de piratage possibles, il s’obstine à faire voter les brestois sur ce système de votation opaque et invérifiable.